9 avril 2010

Mise à jour du dossier auprès de la Banque Nationale du Canada (BN).



De :  
Jean Bedard [bedard_jean@hotmail.com] 
À :    denis.dube@bnc.ca; ombudsman91521@bnc.ca; eric.laflamme@bnc.ca; louis.vachon@bnc.ca
Envoyé : Thu, 8 Apr 2010 21:01:48 -0400
Objet : La Banque Nationale du Canada, cliente de second ordre ou boulet ?


8 avril 2010

NOUVEL - Nouvel Avis de Présentation (Attendu) - MONTRÉAL 0 - QUÉBEC 2.

La Banque Nationale du Canada, cliente de second ordre ou boulet ?

Désintérêt, inattention ou négligence, Me Philippe Levasseur saurait nous le dire.  N’importe quoi à l’exception d’une faute de frappe. Toujours est-il que ses procureurs McCarthy Tétrault S.E.N.C.R.L. s.r.l. négligent et prennent la défense de leurs clients Banque Nationale du Canada, Manon Alain, Gilles Lavergne et l’Ombudsman de la Banque Nationale du Canada à la légère.  Après tout, direz vous, à raison, la Banque Nationale du Canada et ses précédents procureurs Gowling Lafleur Henderson LLP /  S.E.N.C.R.L. sont grandement responsables, de l’actuelle position à tout le moins inconfortable.


Dois-je vous rappeler que la Banque Nationale du Canada et ses procureurs avaient initié et présenté par leur moyen déclinatoire une Requête à la Cour demandant le transfert dans le district judiciaire de Montréal.  OUPS !!!

Empruntant l’image au hockey, inquiétant et préoccupant pour messieurs Louis Vachon président et chef de la direction de la Banque Nationale du Canada (BN) et Éric Laflamme président de Trust Banque Nationale (BN).  Fiduciaires et tous deux gardiens de secrets bancaires impliquant la Banque Nationale du Canada et les opérations offshore du groupe incluant les transactions de tous ses clients durant les vingt dernières années effectuées aux Bahamas, ces derniers auraient raison de se  montrer inquiets quant aux défenseurs devant eux soit McCarthy Tétrault S.E.N.C.R.L. s.r.l.

Contrez l’échappée, parce que l'adversaire est déjà en zone et le but pointe à l’horizon.  Il serait navrant que de constater son impuissance en regardant l’adversaire trop s’en approcher et marquer et, comme vue n’avoir que son chandail de dos et son nom y figurant BEDARD.